Les six prochaines années seront, sans aucun doute, synonymes de changement. Elus en mars, William Chalençon et son équipe comptent bien s’en assurer.
Vous avez axé votre programme sur le développement des activités estivales. On imagine que certains projets ont été chamboulés…
Oui, la crise sanitaire a un peu empiété sur nos projets, notamment ceux prévus pour l’été, décalés d’un an. On avait travaillé en amont pour pouvoir ouvrir la télécabine tous les jours au lieu d’un jour par semaine. Aujourd’hui on réussit à l’ouvrir deux jours seulement. On voulait développer le vélo électrique avec quatre circuits sur le tour du Roc d’Enfer, en rajoutant des cabanes dans les arbres et des tentes suspendues pour les nuitées. Rien de tout ça n’a été possible.