Si la conjoncture ne prête guère à l’optimisme alors que l’économie genevoise est encore sous perfusion avec l’équivalent suisse du chômage partiel (RHT, pour réduction de l’horaire de travail), plusieurs facteurs pourraient pousser Genève à recruter toujours plus de frontaliers.
Vous désirez lire la suite de cet article ?
Je profite de l'offre de Noël pour suivre l'actu en continu
J'en profite