Yambi. Dans plusieurs langues africaines, ce mot est associé « aux valeurs positives de l’accueil, la bienveillance et le partage », explique l’association du même nom. La fondatrice, Clélia Compas, raconte avoir été « élevée par une réfugiée qui était ma nounou ». Aujourd’hui, les questions migratoires sont au cœur de la vie de cette Annécienne qui a travaillé pour l’ONU en Asie du Sud-Est et passe actuellement un doctorat sur le sujet à l’Université du Sussex.
Vous désirez lire la suite de cet article ?
Pour accéder à tous nos articles en illimité,
abonnez-vous dès 1,20€/semaine.
J'en profite
abonnez-vous dès 1,20€/semaine.