Cyril Pellevat compte bien mettre à profit les six mois de la présidence française de l’Union européenne, à compter du 1er janvier 2022, pour faire avancer son idée de taux de télétravail pérenne à 40 %. « J’ai interrogé Clément Beaune (secrétaire d’État aux affaires européennes, NDLR), il y est assez favorable », se réjouit le sénateur de la Haute-Savoie. L’aboutissement des négociations entre la Suisse et l’Union européenne sur le volet social du télétravail (la partie fiscale résulte d’un accord bilatéral entre la France et la Suisse, NDLR) dépendra en partie de la question de l’accord-cadre, au sujet duquel les discussions viennent de reprendre et qui verrait nos voisins participer au marché unique de l’UE.
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