En ce vendredi après-midi, une retraitée se promène, son chien en laisse, sur les larges trottoirs de l’avenue de Ripaille. A hauteur du numéro 58, elle s’arrête : « Cent logements là, ça va être pénible... » La Thononaise, qui résidait auparavant sur les hauteurs d’Evian, a acheté ici en 2020. « C’est agréable : on a le château, les vignes, la campagne... On n’est pas loin des magasins et à deux pas du lac, c’est magnifique comme quartier », justifie-t-elle. Aujourd’hui elle s’inquiète de la hausse du trafic que cet ensemble de six bâtiments va entraîner. Déjà que ça circule pas mal « notamment l’été, pour aller au lac ». Et trop vite : « Il faudrait mettre des dos d’âne. » Alors cet ensemble d’une centaine de logements, « c’est dommage
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