C’était il y a un plus d’un mois, et pourtant il est encore difficile pour eux de redescendre de leur nuage.
Les bénévoles du Cri de la Goutte ont enfin vu se concrétiser le festival qu’ils avaient imaginé voilà plus de trois ans, sans pass sanitaire, avec deux journées d’activités et deux soirées de concert. Un projet qui avait même été imaginé depuis 2006 ! « La première réelle satisfaction, c’était celle-ci, on peut considérer qu’il s’agissait de la première «vraie» édition du Cri de la Goutte, indique Arthur Flèche, président du consortium, qui réunit six associations du pays bellegardien. On a attiré beaucoup de monde sur les deux journées (2 000 personnes le vendredi 22 juillet et 2 200 le samedi 23, Ndlr). Nous avons trouvé ce format multigénérationnel, multi-originel, en totale adéquation avec l’idée de la mixité qu’on a toujours défendue. »