Le cœur fleuri sur une façade de l’hôpital de Saint-Julien (2019), c’est lui. Les balles de golf remplies d’oiseaux décorant des immeubles du Livron (2015), c’était déjà lui. La fresque à la gare routière d’Annemasse (2020), c’est encore (en partie) lui. Si vous vivez dans le Genevois depuis plusieurs années, vous avez déjà forcément vu du Wozdat, Jean-Philippe Blanc de son vrai nom, sur un mur. Et pu apprécier la poésie qui se dégage de sa peinture.
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