Dans l’industrie automobile de ces dix prochaines années, le défi sera de bâtir de nouvelles opportunités sur la fin du moteur thermique. C’est sur ces ouvertures de marché que l’hydrogène peut parvenir à se faire une place au soleil. Surtout si l’on prend en compte ses capacités de stockage, qui offrent l’avantage de lisser la consommation en énergie grâce aux réserves tampon, de type stations de recharge. De plus, comparé au développement des batteries électriques, qui combinent puissance et temps de charge raccourci, l’hydrogène reste une production raisonnée. « Il faut bien prendre en compte que si la recharge d’une batterie électrique est raccourcie, il faudra que la batterie soit en mesure de supporter une telle densité d’énergie et cela pourrait causer des tensions sur le réseau électrique. En clair, il faudrait qu’à côté de chaque « hub » de rechargement, il y ait une centrale électrique, pour simplifier. »
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