Quel premier bilan dressez-vous de ce mandat «particulier», alors que vous entamez la troisième année ?
Un petit peu comme tout le monde, nous avons eu un début de mandat difficile, avec la crise Covid, mais avec aussi une menace d’annulation (le groupe de M. Gaconnet avait déposé un recours, Ndlr) qui n’a pas facilité les choses. Mais je crois que pendant cette épreuve on n’a pas perdu de temps et on a beaucoup préparé les dossiers qui arrivent en réalisation aujourd’hui. On a notamment travaillé à transformer l’image d’Annemasse. Cela se manifeste par des reconnaissances, comme les quatre fleurs ; la Bulle qui a obtenu plusieurs prix, notamment celui avec les bibliothécaires de Washington.
Outre ces reconnaissances, pensez-vous qu’Annemasse sert d’exemple ?