Il est tombé tout jeune dans la potion magique composée d’acide ascorbique, d’hydroquinone, de métol et de phenïdone, la composition du révélateur utilisé pour développer les photos argentiques. Denis Charmot, avant même de faire des études de chimie, biologie, physique, bactériologie était déjà plus artiste que scientifique. Il y a quarante ans, à Thonon, il découvre les joies du tirage en labo grâce au club photo de son lycée. Il découvre la photographie de concerts en réalisant ses premiers clichés de spectacle en allant voir et écouter Bill Deraime.
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