« Je n’ai plus de vie. Je ne me sens plus en sécurité nulle part, constamment sur le qui-vive. Ce qui s’est passé a et aura des répercussions sur mon existence. » Les mots de Marie1 reflètent l’ampleur du traumatisme qu’elle subit depuis quelques semaines. Tout a basculé le lundi 30 janvier 2023, le jour où cette prothésiste ongulaire, à son compte, est agressée sur son lieu de travail.
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