Avant l’été 2022, Jean-Philippe Chiara, comme beaucoup de Rumilliens, s’inquiétait peu de la qualité de l’eau dans la ville : « Il y avait les on-dit sur les anciens sites d’enfouissement des déchets de Tefal, se souvient le pharmacien, mais quand la baignade a été interdite [en août, NDLR], l’ARS a parlé de micro-organismes, d’eau trop stagnante. »
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