Chien de protection tué à Cluses : « Ce n’est pas humain », témoigne l’éleveur

Nicolas Gros et l’une de ses chiennes chargées de protéger son troupeau de moutons. L’éleveur se dit dégoûté de l’humain après la mort de l’une d’elles tuée par balles.
Nicolas Gros et l’une de ses chiennes chargées de protéger son troupeau de moutons. L’éleveur se dit dégoûté de l’humain après la mort de l’une d’elles tuée par balles.

Depuis deux ans, Nicolas Gros, éleveur aux Carroz d’Arâches, possède deux chiens de protection pour prémunir son troupeau d’environ 150 moutons contre les attaques de loups. Ces derniers jours, une partie du troupeau et les chiens occupaient une parcelle qui appartient à l’éleveur sur les hauteurs de Cluses, sous le Chevran, derrière le Médipôle.

Vous désirez lire la suite de cet article ?
Pour accéder à tous nos articles en illimité,
abonnez-vous dès 1,20€/semaine.
J'en profite